lundi 28 mai 2012

sympathie


 

Définitions de sympathie

  • Penchant naturel, spontané et chaleureux de quelqu'un vers une autre personne : Ressentir une vive sympathie pour quelqu'un.
  • Participation à la joie, à la peine d'autrui : Recevoir des témoignages de sympathie à l'occasion d'un décès.
  • Bienveillance, disposition favorable envers quelque chose : On voit très bien où vont ses sympathies.
 

dimanche 27 mai 2012

enclin, encline

enclin
adj m porté par nature à


enclin , es
adj m entraîné, porté, disposé, prédisposé, encouragé, attiré, poussé
[antonyme] réfractaire

dévoué فدا کار

dévoué
adj m aimant rendre service, aider


dévoué , es
adj m zélé, fidèle, généreux, empressé, consciencieux, attentif, loyal, scrupuleux
[antonyme] oublieux, égoïste


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être dévoué

Définitions de être dévoué

  • Être plein de zèle, ne pas hésiter à rendre service : Avoir de dévoués collaborateurs.

  • Entre dans des formules de politesse terminant des lettres adressées à un supérieur : Je suis votre dévoué

          serviteur.


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dévouement   فداکاری


mardi 22 mai 2012

cheval de trait = cart-horse




Cheval de labour au Moyen âge, muni d'un collier d'épaule afin de tirer la herse. Mois d'octobre, Les Très Riches Heures du duc de Berry, musée Condé, Chantilly, ms.65, f.10, vers 1440.
Cheval de trait sur un chantier de débardage en Haute-Loire

Labour traditionnel avec une paire de chevaux de trait en Allemagne.

Buggy Amish tracté par un cheval de trait.
Cheval de trait
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Cheval de trait de race belge.
Un cheval de trait, ou cheval lourd, est un cheval sélectionné pour ses aptitudes à la traction de véhicules et de matériaux de toutes sortes, appartenant en général à une race puissante et de grande taille. La majorité des races de trait n'existaient pas avant le XVIIIe siècle. En Europe, ces animaux sont sélectionnés pour les besoins militaires et notamment la traction des chariots d'artillerie lourde, puis les travaux agricoles où leur développement accompagne la révolution industrielle et le perfectionnement du matériel, notamment des charrues au cours du XIXe siècle. Ces chevaux effectuent aussi le halage de bateaux et le déplacement de nombreux véhicules hippomobiles pour le transport de personnes ou de matériaux. Ils sont présents dans la plupart des pays développés, entre autres en Europe de l'Ouest, aux États-Unis, en Australie et au Japon. La France possède le plus grand nombre de races de trait, à savoir neuf.
L'utilisation des chevaux de trait évolue avec le progrès : l'arrivée du chemin de fer les prive d'une partie de leurs fonctions mais ne fait pas pour autant diminuer leur nombre puisque des chevaux sont requis pour le transport depuis les gares. Plus tard, la modernisation des transports en commun et la motorisation des bateaux entraîne l'obsolescence des tramways hippomobiles, du halage et des diligences, cantonnant le cheval de trait aux seuls travaux des champs. Avec l'arrivée du tracteur agricole, les chevaux de trait perdent la dernière de leurs fonctions et disparaissent en masse des pays où ils étaient historiquement élevés et utilisés.
En France et en Belgique, notamment, l'élevage de ces animaux est réorienté vers la production de viande pour la consommation humaine. La plupart des races de trait disparaissent faute de demandes. Depuis les années 1990, le cheval de trait retrouve certaines de ses anciennes fonctions avec le renouveau de l'équitation de loisir, de l'attelage et de l'utilisation au travail. Il reste néanmoins majoritairement élevé pour sa viande, son utilisation moderne pour l'attelage, le débardage, les travaux agricoles ou encore l'entretien des espaces verts reste assez marginale. Un cheval sur quatre né en France est un cheval de trait.

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Le cheval de trait connait un renouveau dans la société occidentale, qui semble lié aux mouvements écologistes et au développement durable, ainsi qu'à la recherche de nouveaux modes d'occupation de l'espace non polluants. Ils sont souvent présents lors de salons agricoles, la concurrence est réapparue dans des concours d'animaux de traction et des expositions importantes. Le cheval de trait représente désormais le retour à la nature et à un « passé idéalisé ». Les voyages en roulotte liés à la culture du nomadisme et les fêtes médiévales sont également des raisons du retour du cheval de trait dans la société[3]. Le développement des expériences pour réhabiliter le cheval de trait fait de cet animal une passerelle entre le monde citadin et le monde rural, et entre tradition et modernité[3].


sur google peut être étudié entierement

dimanche 20 mai 2012

Il tranchait du prince زندگی شاهانه ای داشت

Trancher du, se donner des airs de, en ce sens que ces airs seront péremptoires, avantageux, tranchants. Mais je ne m'aperçois que, tranchant du prud'homme, Mon temps en cent caquets sottement je consomme. [Régnier, Satires] Tranchant du généreux, il croit m'épouvanter. [Corneille, Polyeucte] Ha ! ne tranche plus du ministre, Tu n'étais né que pour le sistre. [Scarron, Mazarin. Oeuv. t. I, p. 286] Notre homme Tranche du roi des airs, pleut, vente, et fait en somme Un climat pour lui seul. [La Fontaine, Fables] Je te vois en train De trancher avec moi de l'homme d'importance. [Molière, L'amphytrion] M. de Seignelay trancha du maître dans la marine, comme font tous les ministres du roi dans leur district. [La Fay. Mém. cour France, Oeuv. t. III, p. 52, dans POUGENS] Il me semblait qu'un homme qui voulait trancher du petit seigneur, ne devait pas se montrer fort sensible à la perte de ses hardes. [Lesage, Guzman d'Alfarache] Il faut voir ce marchand, philosophe en boutique.... Trancher du financier, jouer le grand seigneur. [Gilbert, Le XVIIIe siècle]
Trancher du grand, faire le grand personnage. Le partisan, quoique des plus roturiers de sa compagnie, tranchait du grand. [Lesage, Histoire de Gil Blas de Santillane]

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Dans le lys dans la valléé

Il tranchait du prince

زندگی شاهانه ای داشت

http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/trancher/74408trancher

vt (tran-ché)
  • 1Séparer en coupant. L'acier de Damas tranche le fer. Artaxerce, sous prétexte qu'il [un officier] avait manqué de respect pour son prince, en frappant la bête avant lui, ordonna qu'on lui tranchât la tête. [Rollin, Histoire ancienne] Enfin Almagro fut fait prisonnier, et son rival Pizarro lui fit trancher la tête. [Voltaire, Essai sur les moeurs et l'esprit des nations et sur les principaux faits de l'histoire depuis Charlemagne jusqu'à Louis XIII] Absolument. Ce couteau tranche comme un rasoir. Ce prince vit l'échange, et l'allait empêcher ; Mais l'acier des bourreaux fut plus prompt à trancher. [Corneille, Héraclius, empereur d'Orient]
    Trancher le placage, couper le bois en feuilles minces.
    Trancher dans le vif, se dit d'un chirurgien qui coupe dans une partie que la gangrène n'a pas encore atteinte.
    Fig. Trancher dans le vif, rompre tout à coup des relations nuisibles, ou prendre des mesures énergiques dans une affaire.
  • 2 Absolument, découper. Le service de l'écuyer consistait, en paix, à trancher à table, à servir lui-même les viandes, comme les guerriers d'Homère. [Chateaubriand, Le génie du christianisme, ou Les beautés de la religion chrétienne]
  • 3 Fig. Couper, ôter, interrompre comme par le fer. Et toujours la fortune, à me nuire obstinée, Tranche mon espérance aussitôt qu'elle est née. [Corneille, Polyeucte] La vie est si précipitée dans sa course qu'à peine avons-nous pris les premières teintures des connaissances que nous recherchons, que la mort inopinément tranche le cours de nos études par une fatale et irrévocable sentence. [Bossuet, Sermons] Poétiquement. Mettre fin à la vie. Mais si ce fer aussi tranche sa destinée. [Corneille, Horace] La mort toujours cruelle Aime à trancher des jours heureux, Et n'entend point les voeux D'un infortuné qui l'appelle. [Quin. Amad. III, 1] Et le fer est moins prompt à trancher une vie Que le nouveau poison que sa main me confie. [Racine, Britannicus]
    La Parque a tranché ses jours, le il de ses jours, il est mort. Elle apprit qu'il avait suivi Adraste dans les combats, et que la Parque avait tranché cruellement ses jours. [Fénelon, Télémaque]
  • 4 Fig. Décider, résoudre. Trancher le noeud de la difficulté. Trancher une question. Mais laissons les vaines disputes, et tranchons, en un mot, la difficulté par le fond. [Bossuet, Discours sur l'histoire universelle] Les exemples tranchaient tout le doute en cette matière. [Bossuet, Histoire des variations des Églises protestantes]
  • 5Abréger, couper court, mettre brusquement fin. Cela fut cause qu'elle trancha son discours assez court. [D'urfé, l'Astrée, I, 2] Et, pour trancher enfin ces discours superflus, Albe vous a nommé, je ne vous connais plus. [Corneille, Horace] Et, pour trancher le cours de leurs dissensions, Il faut fermer la porte à leurs prétentions. [Corneille, Don Sanche] Tranchez-moi votre discours d'un apophthegme à la laconienne. [Molière, Le mariage forcé] Ma dernière partie, que je tranche en un mot, parce que ce n'est que la suite des deux précédentes. [Bossuet, Sermons] Et tu verras mon indulgence Trancher nos éclaircissements. [Chaulieu, Raccommodement, à Mme D.] Quand la discussion, comme il arrivait souvent, avait été longue, diffuse, obstinée, le premier consul savait la résumer, la trancher d'un seul mot. [Thiers, Hist. du Cons. et de l'Emp. XII]Trancher le mot, appeler hardiment une chose par son nom ; dire sans détour ce qu'on veut dire. Tranchez le mot, seigneur, je vous ai fait mon maître, Et je dois obéir malgré mon sentiment. [Corneille, Sertorius] Monsieur, la plupart des gens, sur cette question [si on est gentilhomme] n'hésitent pas beaucoup ; on tranche le mot aisément ; le nom ne fait aucun scrupule à prendre. [Molière, Le bourgeois gentilhomme] Il y a pourtant de part ou d'autre une fraude manifeste ; tranchons le mot, un crime honteux. [Voltaire, Pol. et lég. Nouv. probabilités.] Nous souffrons des choses, des gens.... quinze ans de galère, tranchons le mot, ont abaissé notre humeur fière. [Courier, Lettres de France et d'Italie]
    Le trancher net, dire tout franc et sans déguisement. Qu'il ne fait pas bien sûr, à vous le trancher net, D'épouser une fille en dépit qu'elle en ait. [Molière, Les femmes savantes]
  • 6 Terme de verrerie. Appuyer le verre fondu contre l'extrémité du mors de la canne. Terme de métallurgie. Forger un métal sur la partie droite de la panne du marteau.
  • 7 vi Fig. Décider hardiment. Cela est bientôt dit, marquis ; il n'est rien plus aisé que de trancher ainsi. [Molière, Critique de l'école des femmes] Voilà une réponse qui tranche. [Bossuet, 1er avert. 21] Des hommes qui, dans des moeurs dissipées, n'ont jamais donné une heure d'attention sérieuse aux vérités de la religion, tranchent, décident, sur des points qu'une vie entière d'étude, accompagnée de lumière et de piété, pourrait à peine éclaircir. [Massillon, Carême, Vérité de la relig.]
  • 8Abréger, couper court. Car, tranchant avec moi par ces termes exprès.... [Molière, L'école des femmes] En peu de mots, sans façon, sans vous amuser à beaucoup de discours, tranchez-moi d'un apophthegme. [Molière, La jalousie du barbouillé] Elliptiquement. Tranchons là, ne discutons pas davantage.
    Trancher court, terminer en peu de mots une conversation, un discours. Si dans cette matière il n'était nécessaire de trancher court. [Bossuet, Lett. abb. 184]
    Trancher net, s'expliquer avec quelqu'un en peu de mots et sans ménagement. Il n'y a rien de tel que de trancher net, et cela donne un air de savant qui éblouit un lecteur. [Bossuet, 5e avert. 37]
  • 9Trancher du, se donner des airs de, en ce sens que ces airs seront péremptoires, avantageux, tranchants. Mais je ne m'aperçois que, tranchant du prud'homme, Mon temps en cent caquets sottement je consomme. [Régnier, Satires] Tranchant du généreux, il croit m'épouvanter. [Corneille, Polyeucte] Ha ! ne tranche plus du ministre, Tu n'étais né que pour le sistre. [Scarron, Mazarin. Oeuv. t. I, p. 286] Notre homme Tranche du roi des airs, pleut, vente, et fait en somme Un climat pour lui seul. [La Fontaine, Fables] Je te vois en train De trancher avec moi de l'homme d'importance. [Molière, L'amphytrion] M. de Seignelay trancha du maître dans la marine, comme font tous les ministres du roi dans leur district. [La Fay. Mém. cour France, Oeuv. t. III, p. 52, dans POUGENS] Il me semblait qu'un homme qui voulait trancher du petit seigneur, ne devait pas se montrer fort sensible à la perte de ses hardes. [Lesage, Guzman d'Alfarache] Il faut voir ce marchand, philosophe en boutique.... Trancher du financier, jouer le grand seigneur. [Gilbert, Le XVIIIe siècle]Trancher du grand, faire le grand personnage. Le partisan, quoique des plus roturiers de sa compagnie, tranchait du grand. [Lesage, Histoire de Gil Blas de Santillane]
  • 10Passer d'une couleur vive à une autre couleur vive, sans aucune nuance ni adoucissement. Comme ce sont des couleurs sombres, elles tranchent peu l'une sur l'autre. [Buffon, Oiseaux] Fig. Cette pensée, cette phrase tranche dans son discours, elle a un caractère trop différent de ce qui précède et de ce qui suit. La qualité de fripon tranche moins que la vertu avec le caractère des hommes, il leur ressemble par là davantage. [Marivaux, dans DESFONTAINES] Il tombe quelquefois dans l'écueil dangereux de la familiarité du style, qui contraste et qui tranche avec la délicatesse ou la grandeur de la pensée. [D'alembert, Élog. Lamotte.]
    Terme de teinturier. Se dit du drap teint en pièce, dont l'intérieur, lorsqu'on le coupe, paraît d'une nuance beaucoup plus faible.
  • 11Se trancher, vpron Être tranché. Ces branches se tranchent avec un sécateur.

REMARQUE

On lit dans Corneille : Du plus grand des mortels j'ai vu trancher le sort, Pomp. II, 2. Voltaire a blâmé cette phrase, disant qu'on ne tranche point un sort ; mais cela est trop rigoureux, puisqu'on dit trancher la destinée.

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samedi 12 mai 2012

tenter le diable از رادیو

http://www.rfi.fr/lffr/articles/094/article_1966.asp