emmieller le mors aux jeunes poulains pour les y accoutumer.
« Prendre le mors aux dents »
Se laisser aller à la colère.
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Singulier et pluriel |
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mors /mɔʁ/ |
- Ensemble des pièces de fer qui servent à brider un cheval, comme l’embouchure, les branches, la gourmette, etc.
- Quant aux brides, aux mors, aux têtières, aux frontails, nos langues du Nord sont trop froides, trop pauvres, trop mesquines, pour en décrire les somptuosités; […]. — (Théophile Gautier, L'Inde, dans Caprices et zigzags, 1852)
- (En particulier) La pièce qui se place dans la bouche du cheval pour le gouverner.
- Mors à bossettes.
- Les branches, les bossettes d’un mors.
- Ce mors blesse la bouche de votre cheval.
- Il faut à ce cheval un mors plus doux, plus fort, plus rude.
- Un cheval qui joue avec son mors, qui mâche son mors.
- Instrument de torture utilisé par les esclavagistes aux États-Unis sur leurs esclaves noirs, voir Beloved, le roman de Toni Morrison, Prix Nobel de Littérature.
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